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Reportage au Museum of Natural History de Londres

À Londres, le Museum of Natural History (musée d’histoire naturelle) est un must pour tous les amateurs de dinosaures. N’oublions pas que la folie pour les fossiles a commencé ici, en Angleterre.
Le musée est installé le long de Exhibition Road, dans le quartier de Kensington. Il abriterait pas moins de 70 millions de spécimens de toutes les époques.

Museum of Natural History de Londres – façade

Le musée abrite cinq collections majeures dans les domaines suivants :

  • botanique
  • entomologie
  • minéralogie
  • zoologie
  • et bien sûr, paléontologie, raison de notre déplacement !

Chose amusante, de nombreuses gargouilles de tous poils jonchent la façade, comme ici avec ce reptile volant.

Une des nombreuses créatures en façade

Une fois à l’intérieur de ce magnifique bâtiment, nous sommes accueillis par un splendide squelette de Diplodocus, qui baigne dans la lumière. Puis, sans hésiter, nous nous dirigeons vers l’aile du bâtiment consacrée aux dinosaures !

Squelette de Diplodocus

Nous y voilà ! Ce secteur du musée est incontestablement l’un des plus populaires et visités, ce qui rend difficile les prises de vue. Mais il nous en faut bien plus pour nous décourager, un magnifique squelette de Triceratops ne demander qu’à être pris en photo.

Squelette de Triceratops

Le sens de la visite nous conduit sur une passerelle métallique suspendu. Les conservateurs du musée ont en effet optimisé l’espace en suspendant des squelettes sur les murs et au plafond. Les bras d’un Deinocherus (signifiant « main terrible », ça tombe bien !), espèce encore mal connue, sont assez impressionnantes.

Bras de Deinocherus

Mais que dire de ce brave Albertosaurus, un cousin de Tyrannosaurus rex de 10 mètres de long ! Albertosaurus tire son nom de la région canadienne où il a été découvert, au Canada.

Albertosaurus

Dans un autre registre, le Gallimimus (« reptile qui imite la poule ») ressemble avec son long bec à une sorte d’autruche, de 5 mètres de long tout de même.

Gallimimus

Nous avons ensuite la chance de trouver sur notre route un cousin chinois de Stegosaurus, un Tuojiangosaurus.

Tuojiangosaurus

Nous sommes ensuite saisi par la robustesse des crânes d’Albertosaurus et de Triceratops. Imaginez la puissance d’un combat entre ces deux dinosaures !

Albertosaurus et Triceratops

Des raptors ? Oui, mais pas ceux de Jurassic Park. Ces Dromaeosaurus devaient être pourvus de plumes, à mon avis.

Dromaeosaurus

Encore quelques pas en direction d’une salle sombre, et voici le clous du spectacle : une animatique d’un Tyrannosaurus rex grandeur nature !

Tyrannosaurus rex

Pour mieux vous rencontre compte de cette réussite, lancez le film ci-dessous. Comme vous pouvez l’entendre, les enfants étaient très impressionnés et leurs cris répondaient aux rugissement de notre roi lézard tyran.

Passons maintenant à un peu de tendresse. Dans une autre salle a été reconstitué un nid de Maiasaura. De nombreux nid de ce « lézard bonne mère » ont été retrouvés et indiquent que les dinosaures prenaient soin de leur progéniture.

Dans une vitrine, un crâne de Pachycephalosaurus nous intrigue avec ses 25 cm d’épaisseurs. Ce dinosaure était-il un spécialiste du coup de boule ? Les avis des paléontologues divergent sur la question.

Crâne de Pachycephalosaurus

Plusieurs tableaux nous permettent de comparer différentes tailles de dents de carnivores. Si l’on place sa main en comparaison, on frissonne en imaginant le sourire carnassier de ces monstres.

Comparaison de différentes dents

Et voilà que la visite s’achève déjà, mais en beauté. Ce squelette d’Iguanodon, un imposant herbivore aux pouces pointus est là pour nous saluer.

Squelette d’Iguanodon

Difficile de devoir quitter aussi vite nos amis les dinos… Heureusement, les délicieux sandwichs de la cafétéria du musée sont une petite consolation !

Reportage et photos © Arnaud Plumeri

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